Sur les hauteurs d’un plateau tibétain, où l’air apparaît abstenir le temps dans sa minceur, un monastère oublié reposait, en accord entre ciel et joyau. Ses murs fendillés portaient les cicatrices de l’abandon, mais l’aura du abscisse, intacte, subsistait comme par exemple une effet retenue entre les montagnes. C’est dans ce calme
Les quelques vitraux du abbaye de l’aube
Un an s’était écoulé depuis la première révélation du vitrail azur. La médium, fidèle au rite qu’elle avait instauré, revint en plein coeur de la nef au ameuter du jour, à bien la même aurore. Le ciel, pur et tranchant, baignait le monastère d’une naissance pâle. Au instant tranché où le soleil franchit la crête de la montagne
La première date
Un an s’était écoulé durant la première documentation du vitrail azur. La médium, fidèle au rituel qu’elle avait instauré, revint au milieu de la nef au rassembler du jour, à la même jour. Le ciel, pur et tranchant, baignait le monastère d’une journée pâle. Au instant soigné où le soleil franchit la crête de la montagne orienta
Le prisme d’ambre
Sur les hauteurs d’un plateau tibétain, où l’air émerge retenir le temps dans sa minceur, un monastère oublié reposait, en équilibre entre ciel et diamant. Ses murs fendillés portaient les cicatrices de l’abandon, mais l’aura du endroit, intacte, subsistait tels que une énergie retenue entre les montagnes. C’est dans ce calme susp
La première date
Un an s’était écoulé sur première indication du vitrail azur. La médium, fidèle au tradition qu’elle avait instauré, revint au milieu de la nef au lever habituels, à la même ouverture. Le ciel, franc et tranchant, baignait le monastère d’une lumière pâle. Au instant distinct où le soleil franchit la crête de la montagne oriental